« La performance dans La Vie en rose, qui lui a valu un Oscar l’an dernier, est encore dans toutes les mémoires mais, malgré des fantômes aussi présents, (Elena) Roger captive le public dès le début », écrit le Financial Times.
Le Guardian, qui donne à « Piaf » trois étoiles sur cinq, n’en a lui aussi que pour Elena Roger, qui avait incarné Eva Peron, ancienne première dame argentine, dans la pièce Evita, présentée à Londres en 2006. « L’atout de Roger est qu’elle chante aussi bien qu’elle joue », écrit le Guardian, qui salue une « performance formidable ». D’autant plus que l’Argentine chante en français, une langue qu’elle ne connaît pas, les Milord, Non, je ne regrette rien et autres La Vie en Rose.
Le théâtre Donmar Warehouse, où se joue Piaf, annonce sur son site internet jouer à guichets fermés jusqu’à la fin des représentations le 20 septembre, à l’exception de dix places réservées à la vente le jour-même. La pièce est une réécriture de l’œuvre de la dramaturge Pam Gems, qui avait fait son entrée sur les planches londoniennes il y a trente ans. La nouvelle version, épurée, est dirigée par Jamie Lloyd, déjà assistant metteur en scène pour Evita.
