»Otez-nous ces pylônes indésirables ! »

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En effet, certains villages électrifiés à la hâte en 1992, suite à une forte pression (occupation du siège de l’APC par la population), vivent aujourd’hui d’énormes tracas engendrés par ces poteaux électriques soit pour les besoins de la construction, soit encore pour l’élargissement des chemins et routes. Il est utile de préciser que quelques pylônes sont implantés à même les trottoirs et chaussées empêchant du coup toute velléité de viabilisation ou d’urbanisation. L’exemple le plus frappant est celui du chef-lieu communal où les câbles électriques de moyennes et basses tensions constituent une véritable “toile d’araignée” ! Pis, pour le transfert d’un pylône, Sonelgaz exige des sommes faramineuses que la plupart des particuliers ne peuvent satisfaire. Certaines bâtisses “frôlent” même ces câbles passant à quelques centimètres des balcons et fenêtres. Et tout le monde a en souvenir ces innombrables accidents, dont certains mortels, dus à ces pylônes qui frôlent les maisons. Aujourd’hui, d’aucuns ne cessent de préconiser cette solution souterraine, particulièrement au niveau de ces petites villes de Souk El Khemis et de Souk El Tenine, lesquelles, pour les besoins de leur urbanisation, sont contraintes, “d’enterrer” ces câbles plus qu’embarrassants et dangereux.  » Ôtez-nous ces pylônes plus qu’embarrassants, enterrez ces câbles (électriques) de la mort », semblent clamer les abonnés de la région

Idir lounès

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