Ainsi, au niveau de la daïra de Souk El Khemis, qui sera prochainement visitée par le premier responsable de la wilaya, l’accent a été mis sur le développement local, en particulier l’habitat rural dont doivent bénéficier les localités rurales de la périphérie telle Ouled Goulmen. C’est une priorité pour laquelle une enveloppe de 1,5 milliard de centimes a été dégagée outre l’aide de l’APW pour ce secteur névralgique. Dans le même sillage, la commune chef-lieu de la daïra, en l’occurrence Souk El Khemis, a bénéficié de 11 projets de développement pour lesquels a été dégagée une enveloppe financière d’un montant de 72 milliards de centimes : budget dont la consigne est le lancement immédiat des projets sans aucune justification de retard. Quant à la seconde commune, en l’occurrence El Mokrani, elle n’est pas laissée pour compte puisque cette dernière a elle aussi bénéficié de l’inscription de six projets de développement pour un montant global de 22 milliards de centimes. Les différentes contraintes notées dans la région ont été passées en revue par le wali, à commencer par le déplacement de la ligne électrique. Chose qui ne saurait tarder à être effectuée ; de même pour la construction d’un nouveau siège de la sûreté de daïra dont le choix du terrain et l’enveloppe financière ont été dégagés. L’ancienne bâtisse abritant le centre culturel, abandonné pendant de longues années est désormais cédée aux services de la sûreté de wilaya. Après les différentes réfections, elle servira de célibatorium. Enfin, les dernières directives restent inhérentes au service public. Dans tous les secteurs là où la réception du public et des citoyens est quotidienne, la demande du wali reste l’allégement des procédures bureaucratiques et la coordination entre les différents services. L’aide des élus, de la société civile dans l’intérêt de la société est de grande importance. La réfection du réseau routier est inscrite en priorité car même l’artère principale de la daïra est dans un état dégradé. L’inscription d’un nouveau lycée pour absorber les surcharges des lycées des localités voisines, notamment celle de Aïn Bessem, semble être d’actualité.
F. K.