Le désarroi des acquéreurs de la cité 200-Logements

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Nombreux sont les acquéreurs des logements de la cité 200-Logements baptisée du nom du colonel Ouamrane, qui n’arrivent pas à comprendre ce que veut exactement l’OPGI. L’un d’eux nous a montré un avis de passage dans lequel il lui est demandé de régler le loyer du mois de septembre. “On ne comprend rien. Nous avons les décisions d’achat. Et les services de l’OPGI nous harcèlent pour payer le loyer. Maintenant, nous avons affaire aux Domaines”, nous dit votre interlocuteur qui exhibe tous les documents en sa possession de la décision de cession du logement à son profit en passant par tous les reçus qui lui ont été remis par le service des Domaines. “Non seulement, j’ai versé l’apport initial, mais aussi les échéances de juillet jusqu’à septembre. Je ne paie plus le loyer car la décision d’achat a été signée en janvier”, a-t-il enchaîné. Ces acquéreurs demandent aux responsables de l’agence de l’OPGI de revoir cette action. En tout cas, ces citoyens ont adressé leur requête aux autorités pour protester contre ces agissements. Si à ce niveau, la situation n’est pas claire, les commodités à l’extérieur de ces immeubles ne sont pas gaies. Dans un déplacement sur les lieux juste après les intempéries, il nous a été donné de voir des eaux pluviales stagnant devant les portes d’entrée principale ainsi que des ordures qui jonchent les alentours. Les résidants trouvent énormément de difficultés à se déplacer dans la cité. Tout comme ailleurs, les habitants de cette cité juste avant l’Aïd, étaient surpris de voir l’eau polluée arrivée dans leurs robinets si bien que l’un d’eux avait même rempli une bouteille-témoin. Finalement, selon une source locale, c’était dû à l’infiltration des eaux de pluie dans les forages après les pluies diluviennes de fin septembre.

Quelque jours après, tout est rentré dans l’ordre après traitement et intervention des équipes de l’Algérienne des eaux sur place.

A. O.

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