Un mois après l’assassinat de Mouloud Feraoun, Jean El Mouhoub Amrouche meurt d’une leucémie le 16 avril 1962.
Ce grand écrivain, à qui revient le mérite de sonder dans les profondeurs de la culture kabyle orale les raisons d’un salut individuel et collectif et la rampe de lancement d’une nouvelle réflexion sur la réhabilitation et la libération de l’être, est aussi un grand poète qui, dans l’univers francophone de son époque, s’est imposé d’une façon magistrale.