L’Agence de la Badr exigüe

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Enfermés dans des bureaux étroits et limités, dans un local usé et exigu, l’agence Badr (Banque agriculture et de développement rural) des Ouadhias, accueillait jusqu’à maintenant ses clients dans des conditions à la limite de l’insalubrité.

L’état extérieur des lieux était indigne d’un organisme bancaire à la réputation établi, le personnel travaille dans un climat de tension. Si bien qu’un projet de réalisation d’une banque a été inscrit pour cette daïra.

Après l’achat d’un local qui n’a pas été facile, en raison d’un manque d’assiette foncière pouvant accueillir un tel édifice, un travailleur de cette banque nous explique les désagréments rencontrés par la banque et également par les clients.

“La confinité de cette agence et l’engouement sont les vrais problèmes qui se répètent chaque fin du mois”, dit-il. Par ailleurs, depuis le dernier découpage administratif faisant des Ouadhias une daïra qui regroupe quatre communes, le nombre de personnes qui fréquentent cette agence a sensiblement augmenté, le problème le plus récurrent, c’est la non-disponibilité des fonds (devise) d’une part, qui fait que des fois, les citoyens et surtout les retraités s’obstinent pour retirer leur argent coûte que coûte.

Il est clair qu’une banque flambant neuve ne peut que satisfaire la population des Ouadhias, néanmoins, il lui tarde de voir le jour afin de faciliter l’accès et de la qualité des prestations qui va avec. Souhaitons que cette rénovation soit profitable.

M. Zerbout

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