Brèves de Tazmalt

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Rendez-nous nos trottoirs !

Contrairement aux autres communes, Tazmalt continue à se distinguer et à faire la particularité en matière de désordre et d’anarchie générées par les commerçants en premier lieu et les automobilistes et cela en agissant dans le sens négatif est en toute impunité. Certaines personnes âgées ne cessent de se poser la question : “Pourquoi les piétons empruntent la chaussée en s’exposant aux dangers de la circulation ?” C’est très simple, car ils sont exclus de cet espace qui leur appartient et qui se trouve squatté soit par des commerçants sans scrupules qui en font l’endroit idéal pour étaler leurs marchandises soit par des automobilistes qui ne font qu’à leur tête en faisant des trottoirs de vrais parkings autos. Les appels incessants des piétons pour leur restituer leurs espaces sont restés sans suite et le danger les guettent sans cesse dans cette ville plongée dans l’anarchie totale sans que l’on ose faire régner l’ordre ne serait-ce que pour un minimum de sécurité pour les personnes qui osent sortir faire des achats, se rendre au travail ou à l’établissement scolaire, s’avère une périlleuse aventure.

A. R.

L’anarchie dans le transport de voyageurs

Même si le secteur privé s’est investi dans le domaine du transport de voyageur pour satisfaire un tant soit peu la demande, ce dernier par contre, ne cesse d’imposer son diktat aux usagers de ces moyens de transport transformés par certains en discothèque ambulante. En journées ordinaires, les transporteurs arrivent à desservir toutes les localités sans aucune distinction. Le malheur des usagers vient lorsque les services d’ordre se trouvent aux quatre chemins de la ville pour réglementer la circulation car, c’est là, que le transport fait défaut en causant des files interminables au niveau de l’aire de stationnement au point où le contrôle de la carte d’horaire, la surcharge… remet en cause le transport de voyageurs, un secteur où la réglementation n’est appliquée qu’à la vue d’agent de l’ordre public auquel on remet au voyageur son ticket de transport. Malgré les lois qui régissent le secteur, le laisser-aller des uns et l’indifférence des autres font régner cette anarchie dont le seul perdant demeure le citoyen.

A. R.

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