De ce fait, le comité de village par le biais de ses représentants, n’a pas cessé depuis le début de cet été, de réclamer l’accélération de la cadence des travaux ou plutôt les reprendre, d’autant plus que des problèmes sont venus pour freiner la mise en œuvre de la passerelle qui reliera les deux rives séparant le village et le CW128.
En effet, dans la précipitation, juste après l’octroi d’une enveloppe dépassant un milliard de centimes à titre exceptionnelle, dans le cadre des PCD, une entreprise a été désignée pour aboutir en fin de compte à des difficultés sur le terrain à cause, dit-on, de l’absence d’un véritable travail de fond avant l’entame de la réalisation d’un tel ouvrage, dont la conception demande au minimum une étude, chose qui n’a pas fait l’objet d’intérêt. Par conséquent, au demeurant, tous les intervenants dans ce projet, à commencer par l’APC de Aïn Zaouia, les services techniques tentent de faire un effort afin d’aplanir tous les écueils qui entravent l’avancement des travaux. A cet effet, nous avons pu savoir des services de l’APC “qu’effectivement, une étude a été achevée récemment pour mieux informer l’entreprise réalisatrice sur les normes à respecter dans la mise en place des structures à béton en premier lieu, puis la partie métallique, du moment qu’il s’agit d’un moyen pour permettre aux piétons de traverser la rivière”. Sur un autre registre, l’étude effectuée a révélé qu’il faudra également réévaluer le coût du projet pour le situer à sa juste valeur, puisque l’enveloppe allouée s’est avérée insuffisante.
Enfin, il faut signaler qu’un autre projet accordé au même village est à l’arrêt, à savoir une salle de soins, toujours à cause de l’insuffisance de la somme dans la décision des PCD 2006.
M. Haddadi