»Ma musique sera une école pour les générations à venir »

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Le Dépêche de Kabylie : Parlez-nous de vos débuts dans la chanson ?

Fetta Tacennayt Yelis Idurar : Toute jeune, j’ai commencé en 1998 dans la poésie, j’ai enregistré mon premier album en 2001 mais j’avais des difficultés qui ont retardé sa sortie jusqu’au en 2007, ensuite l’année confidente j’ai produit mon deuxième album « Manyif Thamadaghet Thakhamet  » qui englobe 6 chansons et aujourd’hui je viens avec ce nouvel album qui sera probablement disponible ces jours-ci sur le marché.

Quelle est votre idole dans la chanson kabyle ?

C’est mon malheur, qui m’a poussé à parler et à chanter. Je n’ai pas d’idole dans le monde de chanson, la musique est mon seul oxygène dans la vie.

Parlez-nous de vos projets ?

Je prépare pas mal de choses pour mon public, d’abord, je participerai dans le film « Thidath Yetwafran  » avec le rôle de Djegdjiga, et je serai le 19 septembre à Tizi Ouzou, également, je prépare une série de livres dont je raconte l’histoire de ma vie, une histoire qui pourra inspirer bien des réalisateurs et être le sujet d’un très bon film.

Un dernier mot pour votre public ?

J’espère être toujours à la hauteur de mon public qui m’aime et m’attend, je dirai que ma musique est une école pour les générations futures. Merci.

O. Saït

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