Mardi 02 septembre, les clients qui ont sollicité les services du bureau de poste, mais en vain, sont repartis vaquer à leurs affaires le temps que revienne la connexion au niveau des ordinateurs. Par exemple, dès l’extinction des appareils à 9h 15, des clients sont allés faire la chaîne devant les guichets du services de l’état civil de l’APC de Aomar, et c’est là, qu’on a surpris quelques nouveaux arrivés dire à leurs collègues de travail “allez vite encaisser… le courant est revenu au bureau de poste”, mais là au moins, la panne n’a duré que quelques heures nous signale l’écrivain public activant à l’extérieur de la poste “Il arrive que la connexion disparaisse 3 à 4 jours, comme en juillet où il y avait des personnes qui se sont déplacés 4 fois pour toucher leur dû”. Un manque d’efficacité de la prestation d’après lui “qui n’a aucune raison d’être vu car ce n’est qu’à la fin de mois qu’un public nombreux afflue vers le centre payeur” et d’ajouter “Après cette petite pression de deux à trois jours, le bureau de poste est déserté pour tout le reste du mois”, malgré cela dénonce-t-il, des guichetiers prennent des attitudes ne reflètant aucunement la réalité, pour faire croire aux clients leur demandant un timbre, un imprimé à remplir, ou seulement un renseignement, de la nécessité de revenir après, du fait du travail astreignant qu’ils accomplissent. S’ajoute aux fréquentes deconnexions paralysant les appareils, et à l’accueil froid affiché par les prestataires, l’indisponibilité de liquidités dans la période correspondant au règlement des salaires mensuels des abonnés, des retraités et autres. En ce jour de septembre, les pensionnaires de Aomar sont restés toute la journée dans le bureau de poste pour rien, faute justement du non fonctionnement des ordinateurs emmagasinant tous les fichiers”.
A. Chérif
