Le locataire occupant une partie de l’assiette, recasé

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Lors de la visite effectuée à la Maison de jeunes, le directeur de cet établissement n’a pas manqué de joindre à l’entretien quelques renseignements concernant le projet de construction d’un Centre culturel scientifique et de loisirs (CCLS) concernant Lakhdaria. Il reste qu’il fallait bien parler de cette œuvre en cours de réalisation implantée à côté de la Maison de jeunes, et du fait aussi de l’appartenance des deux édifices à la même tutelle. On se souvient qu’au lancement du chantier, toutes les structures chargées de l’exécution des travaux ne se sont pas rendus compte d’un locataire occupant le fond de l’assiette foncière sur la vieille bâtisse. Au départ, il semblait que la surface “squattée” n’allait pas gêner une conduite normale des travaux, puis les architectes, les urbanistes, responsables de son suivi ont noté l’impossibilité de l’implantation du CCLS sans une exploitation totale de l’assiette foncière tracée sur le plan, une réalité du terrain dit la responsable de la Maison de jeunes “qui montre que la bâtisse en question retenait pas moins de 4 poteaux entiers sur l’ensemble de la surface nécessaire pour bâtir le CCLS”.

C’est alors que tous les organismes étatiques impliqués, ont été mis en alerte pour que la réalisation n’accuse pas de retard, et sombrer dans “les oubliettes”.

De même que le cas du locataire habitant sur les lieux soit étudié sérieusement, une intervention de l’administration locale, selon le cadre du secteur de la culture “qui a rétabli dans ses droits le locataire, qui a bénéficié d’un logement social à Lakhdaria”.

Et surtout, la location des lieux qui a permis la démolition de la vieille maison située au fond du lot, la récupération de l’espace s’étendant sur 04 poteaux, et une distribution du travail sur les 4 côtés du site, et pas seulement sur les parties qui n’enregistraient aucun problème comme ce fut le cas au départ.

A. Cherif

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