Le Palais de la culture organise en collaboration avec LVSC méditerranée et TOTAL, la deuxième édition du Salon d’automne qui se tiendra de 29 octobre au 29 janvier 2010 au Palais de la culture. A travers ce Salon d’automne, les organisateurs entendent bien instaurer une tradition. Faire de ce salon un important rendez-vous de la création artistique contemporaine, d’offrir aux artistes de plus en plus nombreux l’occasion de faire connaître leurs œuvres et leurs talents, c’est ce qu’a indiqué la directrice du Palais de la Culture, Mehadjia Bouchentouf, lors de la conférence de presse organisée dimanche, à la bibliothèque du Palais de la culture.
Plus de 70 artistes entre photographes et sculpteurs prendront part à cette nouvelle édition, avec, néanmoins 130 oeuvres qui seront exposés sur les étals de ce salon. Toutefois, Ces artistes peintres venus des quatre coins de l’Algérie : Béjaïa, Batna, d’Alger et même de Paris représenté par Ahmed Chaouche, exposent pour la première fois dans ce salon. En effet, à travers ce Salon d’automne, des peintres, des sculpteurs, des céramistes, des calligraphes et des photographes dévoilent, au parfum du jour, leurs dernières créations personnalisées et leurs talents révélés. Par ailleurs, trois plasticiens confirmés, en l’occurrence les peintres Moncef Guita et Mohamed Labidi ainsi que le sculpteur Mohamed Massen, prendront part à cette manifestation culturelle « pour encourager ces jeunes artistes et les faire profiter de leurs expériences et leur prodiguer des conseils ».
Ainsi, les organisateurs de cet événement vise à faire une cérémonie traditionnelle afin de donner la possibilité aux gens d’exposer et de s’ouvrir à l’avenir et surtout, de « devenir une tradition et de prendre de plus en plus d’envergure ».
De son côté, M.Dokman, commissaire du salon d’automne a affirmé que “cette nouvelle édition va mettre en valeur les artistes qui manquent de regards, qui ont besoin de subir l’épreuve éprouvante de l’exposition collective”. Avant d’ajouter “Ce salon sera une passerelle entre les jeunes créateurs, les galeristes et le public ».
Les amateurs d’art en tous genres pourront découvrir et acheter ces créations individuelles.
Ouerdia Sait