A l’entrée est comme à l’ouest de la ville d’Aomar gare les citoyens riverains, voyageurs et agents de la Protection civile de la localité ainsi que les usagers de la RN 5 sont malheureusement exposés aux odeurs nauséabondes qui se dégagent de deux égouts à ciel ouvert. Ces odeurs sont quotidiennes et durent depuis 4 ans sans que nos responsables ne songent à y remédier. Nous nous interrogeons si nos planificateurs avaient fait, au préalable, les calculs avant de lancer ce projet d’assainissement sinon comment peut-on conserver et construire des fosses à proximité des habitations sans prévoir des canalisations qui déverseront les eaux usées loin des agglomérations. Des fosses, les eaux usées se jettent dans oued Djemaâ en cours d’eau et qui stagnent par endroits. Rappelons que les habitants de l’autre rive traversent ces eaux usées pour se rendre à leurs demeures. Concernant ces égouts, le cours d’eau le plus dangereux qui suscite des désagréments est celui qui se trouve à proximité de la Protection civile et de la station des fourgons. Là, les citoyens doivent “boucher” leurs narines et les automobilistes fermer les vitres. En ces moments de chaleur caniculaire l’odeur se répand à des dizaines de mètres à la ronde. Nous avons rapproché un citoyen résidant à une cinquantaine de mètres de là (le cours d’eaux usées). Celui-ci dira : “Ma famille souffre, nous vivons le calvaire, on ne peut pas ouvrir les fenêtres, une odeur puante se dégage”. En effet, ces braves gens et cette famille sont exposés aux maladies. Afin de remédier à la situation, les autorités compétentes doivent agir et en toute`urgence. Enfin, nous signalons que des maladies peuvent se manifester et toucher les riverains.
A. Bouzaidi