Brèves de Draâ El Mizan

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Rénovation de la salle omnisports

C’est fait. La salle omnisports endommagée sérieusement par les chutes de neige de 2005 fera peau neuve d’ici quelques mois. En effet, après presque quatre ans d’attente, les travaux de rénovation de cette salle sont enfin décidés.

L’entreprise réalisatrice du premier lot, à savoir les fondations et la plate-forme a mis en place son chantier. “Je ne peux pas vous dire les délais exacts, mais une chose est sûre, deux entreprises vont intervenir l’une après l’autre pour mener à terme pour Draâ El Mizan, une belle salle avec tout le matériel nécessaire”, nous a confié une source locale.

Il faut dire que cette infrastructure a beaucoup manqué aux athlètes de la région qui, au fil des ans, ont commencé à perdre espoir. D’autre part, ajoutons que la pause du tartan au stade chahid Mohamed-Boumghar est achevée. Les jeunes de Draâ El Mizan attendent des pouvoirs publics l’inscription d’une piscine semi-olympique. “C’est une structure qui manque beaucoup à nos jeunes qui veulent pratiquer la natation”, nous a dit un jeune de la cité Malakoff.

A. O.

Un œuf à douze dinars, un kilo de sardine à deux cents dinars

La crise économique est-elle à nos portes ? Apparemment, la réponse est positive. Le citoyen de la région comme celui de toute l’Algérie a commencé à ressentir la cherté de certains produits alimentaires dits de base. “C’est du jamais vu. Un œuf à douze dinars au prix du détail”, murmure ce sexagénaire sorti d’une épicerie dans un quartier de la ville.

Devant cette réaction, nous avons approché un gérant d’un magasin appliquant les prix de vente en gros. Un kilo de sucre à soixante-quinze dinars, un kilo de lentilles à cent-trente dinars, même prix affiché pour un kilo d’haricots blancs et la liste est longue. Plus loin, le poissonnier crie à tue-tête : “Sardines de Zemmouri à deux cents dinars au lieu de deux cents cinquante dinars”.

A quelques jours de l’Aïd El Kébir, notre attention est attirée par le prix du mouton. Jeudi, jour de marché hebdomadaire, ce quadrupède est cédé entre trente mille et quarante mille dinars.

Et il ne faut pas croire que c’est vraiment des moutons de bonne taille. En tout cas, le citoyen ne sait plus où donner de la tête.

A. O.

Lotissement nord et lotissement Mohamed Boulaouche

Un projet d’éclairage public lancé

Depuis près de quinze jours, une entreprise spécialisée dans la réalisation de réseaux électriques a lancé le projet qui lui a été confié au lotissement nord.

“C’est la rénovation de tous les réseaux. Dans ce quartier, un réseau a été réalisé par l’Agence foncière, mais après que les acquéreurs des lots aient lancé les terrassements, il a été entièrement détérioré si bien que dans les opérations de l’amélioration urbaine, un nouveau projet lui a été inscrit. Après l’étude, il a été décidé de le refaire de fond en comble. Environ trois cents lampadaires y sont prévus. L’entreprise va récupérer les poteaux qui sont en bon état”, nous a confié une source locale. Selon des sources proches de l’entreprise, ce projet sera livré dans environ six mois. Les travaux sont en cours.

Alors que le lotissement Mohamed Boulaouche dit social, aura lui aussi deux cents lampadaires. Actuellement, quelques lampes comme solution palliative sont placées sur les pylônes transporteurs d’énergie électrique. Les habitants du lotissement attendent toujours la mise en service du réseau téléphonique ainsi que les autres opérations confiées aux entreprises chacune dans son domaine.

Amar Ouramdane

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