Pensée

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Cela fait une année jour pour jour que notre consœur

Hayet Haroun

nous quittait sans faire de bruit. D’elle, nous gardons en mémoire le souvenir d’une femme affable, au sens de l’abnégation irréprochable et d’une immense gentillesse.

A cette occasion, tout le collectif de la Dépêche de Kabylie ainsi que sa famille de Boghni s’inclinent à sa mémoire et prient tous ceux qui l’ont connue et appréciée d’avoir une pieuse pensée à sa mémoire.

Les bonnes âmes ne meurent pas quand on les enterre ; elles meurent quand on les oublie.

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