Certes, des progrès ont été réalisés, si l’on compare l’état des routes durant les années précédentes, nous ne nierons pas que l’amélioration existe mais toujours est-il que l’état de certains chemins communaux reliant certains villages au chef-lieu jusqu’à d’aujourd’hui sont dans un état lamentable. Les usagers ne fréquentent ces axes que par necessité.
Il faut bien rentrer chez soi après une journée de labeur. Quant aux transporteurs, ils sont obligés de parcourir fréquemment ces axes pour gagner la subsistance des leurs, ils ne cessent de crier ral-le-bol. En vain. Leurs appels n’aboutissent pas aux oreilles des services concernés. Ils sont contraints d’assister à la dégradation de leurs véhicules du fait du mauvais état des routes communales.
En effet, le chemin communal reliant Afir-Ighil Bwadhou vers le CW 128 est dans un état piteux sur plus de 3 kilomètres. Le chemin du village Ighil Aouène-Hadouche vers le CW18 n’est pas en reste sur plus de 3 kilomètres. Idem pour Le chemin du village Ighil Aouene – Hadouche vers le CW128 sur une distance de 4,5 km qui connaît une dégradation avancée, même constat pour la route communale de Tighilt Ntakdhivine-Aït Al Hadj Ali vers toujours le CW128.
Ces trois axes, pour ne citer que ceux-là, nécessitent des travaux de réfection et de bitumage dans l’urgence. Ce que d’ailleurs n’ont pas omis les élus locaux de signaler aux autorités wilayales.
A. O. T.
