En bref…

Partager

Apres une violente altercation avec le staff technique

Lemouchia expulsé

L’ambiance au sein de la sélection algérienne est bel et bien malsaine. Après l’altercation entre les deux gardiens de but, Chaouchi et Ousserir, c’est au tour du milieu de terrain Khaled Lemouchia de faire parler de lui. Il a été expulsé du lieu de regroupement des Verts à la suite d’une violente altercation avec le staff technique. Mais pour le site de la fédération, son départ est dû à « une affaire familiale ». Une version qui permet à Lemouchia d’éviter une suspension minimale de six mois et à son club, l’Entente de Sétif, de pouvoir le transférer.

Peugeot partenaire des Verts

La contre-performance des Fennecs contre le Malawi (0-3) n’entame pas la confiance des partenaires économiques. Peugeot vient de s’engager avec les Verts pour trois ans et pour 1,3 millions d’euros. Pour Marc Bergeretti, le directeur général de Peugeot Algérie désormais partenaire exclusif du secteur automobile expliquait au moment de l’officialisation avoir apprécié “l’accueil, le franc-parler et le professionnalisme qui ont prévalu lors de cette rencontre. L’approche long terme souhaitée par la FAF correspond tout à fait à la politique de Peugeot Algérie concernant ses partenariats”.

La colère de Mamadou Diarra, capitaine du Mali

Le milieu de terrain défensif et capitaine des Aigles du Mali, Mamadou Diarra, qui a reçu un deuxième carton contre l’Algérie, ne jouera pas le prochain match contre le Malawi. Il n’a pas caché sa colère, lançant même un appel à la CAF: “Si les arbitres occidentaux se comportent comme ceux de notre continent, lors des grandes compétitions, il ne restera pas un seul joueur sur le terrain”. Le Madrilène s’est dit très gêné par l’état de la pelouse qui a accueilli trois matches en l’espace de quatre jours.

Les journalistes fuient la CAN

Pour les vieux routiers de la CAN, la 27e édition organisée par l’Angola entrera dans l’histoire comme étant la plus chère. Un grand nombre de journalistes de la presse écrite sont contraints de faire leurs valises dès le premier tour éliminatoire. De plus, les conditions de travail sont exécrables : moyens de communication du COCAN inexistants, Internet privé de haut débit, transports souvent payants… Autant dire que la grande fête du football africain est gâchée. Seul le spectacle est au rendez-vous.

Partager