Il y a peine un mois, on ne comprenait pas pourquoi ces 20 logements en LSL implantés sur la RN5, sur le pan longeant le marché hebdomadaire de Aomar, achevés depuis presque fin 2008, n’ont pas été distribués aux attributaires. L’inquiétude a gagné les bénéficiaires lorsqu’on a permis en été 2009 aux propriétaires des locaux commerciaux de débuter leur activité, alors qu’aucune nouvelle n’a été jointe à la décision. Toutefois, lors de l’ouverture des 8 commerces, la Sonelgaz n’avait pas encore procédé à l’installation des compteurs d’électricité, ce qui a contraint les nouveaux occupants à solliciter les voisins de leur entourage à l’exemple des résidants de la cité Djouabri. Puis, c’était au tour d’une information non fondée, sortie d’on ne savait où de parvenir jusqu’aux oreilles des intéressés, faisant croire que si Sonelgaz n’avait pas alimenté rapidement le bloc, c’est parce qu’ils ne se sont pas acquittés des frais de branchement, ce qui a donné lieu a un déplacement massif des 8 commerçants et des 20 prétendants au logement vers Kadiria. Lesquels évidemment sont revenus bredouilles sans reçu de paiement, ni aucune autre pièce ressemblant à celle-ci, du fait que les voix qui ont mis en circulation la rumeur ne cherchaient qu’à explorer leur impatience à vouloir s’établir rapidement dans les logements sociaux. Ce n’est qu’en ce début d’année 2010, qu’on a donné le feu vert pour la distribution des 20 logements en LSL, 20 autres du même programme sont eux aussi achevés sur la route de Tizi Larbâa, mais non servis, tout comme on s’achemine vers l’achèvement d’autres unités du même type à côté des dernièrescités.
A. Chérif
