Aomar Barrière, une zone qui prospère

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Dès à présent on peut dégager une idée de ce que va être Aomar dans un proche avenir sur le plan occupation du terrain. Ceci, en tenant compte de ce qu’on projette de bâtir, des projets de construction finis mais non encore inaugurés, et des réalisations en voie d’achèvement.

Aomar gare, il s’agit bien d’elle et pas de la vieille cité appelée maintenant Lekdim pour distinguer entre les deux comprend en fait deux zones, celles que longe de bout en bout, la RN5, et l’autre qui la surplombe à partir des rails de passage de train, nommées respectivement Aomar gare, et Aomar barrière Aomar gare, comme à l’échelle nationale et par lequel on peut joindre toutes les villes du centre, du petit sud, et de l’est, ne regroupe pas en son territoire suffisamment d’œuvres immobilières mis à part le marché, deux parties de programmes de construction de logement en LSL et LSP, la cité Djouahri, la partie de la mini zone d’activité, et l’abattoir communal. La preuve, on a pu rassembler tout ce dont elle dispose en quelques lignes à peine. Par contre Aomar Barrière, que l’on n’a pas prédestiné à jouer le rôle de locomotive, considérée inapte peut être au devant de la scène, donne l’air de tout rafler sur son chemin, ne laissant à l’autre pour l’instant que la nomination héritée depuis des lustres.

Aomar Barrière, est incontestablement le chef-lieu de la commune, non pas parce qu’il accueille le siège de l’APC, mais du fait que 99% de la population locale y réside, que toutes les infrastructures scolaires, sportives, de télécommunications et culturelles, y sont implantées et qu’elle aspire par le biais de sa polyclinique dispenser une prestation pluridisciplinaire en matière de soins médicaux.

Il a acquis ce poids en raison de la concentration sur les lieux de pas moins de quatre cités populaires notamment Sadi Moussa, Bouira Kaci, CNEP et autre, des résidants qui sont venus de Aomar Lakdim, la Krarib ainsi que des hauteurs de Tizi Larbaâ. Sur le registre projets de construction de logements sociaux, 60 unités en LSL et 30 en LSP sont en voie de finition et selon les dires des locaux une assiette foncière consistante serait sur le point d’être dégagée sur le tronçon de route débouchant vers les unités de céramiques et qu’on attribuerait aux logements en LSL. Une métamorphose certes mais qui s’entreprend qu’aux alentours du cœur du chef-lieu de commune et qui tourne autour des 500 mètres de rayon environ de ce point, où sont concentrées toutes les réalisations suscitées. Exemple, autour des vieilles cités Bouiri Kaci, et Sadi Moussa, ont été retenus des projets de réalisation de logements en LSL, et LSP la cité CNEP et le lycée Aomar, ne disposent plus d’espace habituel, ils le partagent avec le CEM, l’école primaire et le CFPA érigés tout dernièrement. Aomar serait-il à l’avenir comme ces grandes cités du pays qui ont prospéré certes, mais qui souffrent de surpeuplement et décombrement ?

A. Chérif

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