A Souk El Tenine » ville » l’ordre et la sécurité ne sont pas pour demain, et ce malgré les cris incessants des citoyens, et des élus locaux.
On se souvient de la journée de protestation organisée par les différents comités de village à la mi-mai de l’année en cours où l’ensemble des habitants, des commerçants et des administrations ont adhéré au mot d’ordre de grève décrété par les comités de village. Un message fort a été adressé aux pouvoirs concernés, Hélas, rien, n’est fait. Le désordre, l’anarchie et l’illégalité ont refait surface au grand dam de toute la communauté. Pour rappel, dans leur déclaration les comités ont dénoncé l’insécurité illégalité l’anarchie et la fuite en avant des responsables concernés.
Au lendemain de la grève, la police urbaine a fait son apparition, des panneaux de signalisation et l’interdiction est redevenue fluide, les stationnements anarchiques ont disparu et les semeurs de trouble se sont éclipsés. Le chef-lieu a retrouvé un semblant d’ordre au grand bonheur des citoyens. Helas, une semaine à peine, les agents de l’ordre sont rappelés dans leurs locaux du chef-lieu de daïra (Souk El Khemis) et l’anarchie a repris de plus belle.
Les trottoirs sont de nouveaux squattés, les stationnements au beau milieu de la chaussée ont réapparu, l’insécurité et les rixes ont repris leur droit. Plongeant la ville dans un chaos des plus choquants et créant des bouchons à longueur de journée.
C. Hocine