On ne se souvient pas de la dernière fois où la route menant au village de Tamejout, un village de la commune de Aïn El Hammam, a été goudronnée.
Les eaux pluviales tout comme les nombreux véhicules de toutes sortes qui y circulent quotidiennement ont eu raison de l’asphalte qui s’est effilochée, au fil des années.
Rétrécie sur les bords, la chaussée est parsemée en son milieu, par une multitude de nids-de-poule, au point où se rendre à Tamejout ou à Taourirt, est devenu une épreuve désagréable pour les automobilistes.
D’ailleurs, la plupart d’entre eux préfèrent emprunter la route de Ouaghzen en bon état et, de ce fait, parcourir deux kilomètres de plus, pour se rapprocher de leur destination, que de mettre en péril l’état de leurs voitures. Pourtant, les deux agglomérations, desservies par cet axe, sont recensées parmi les plus peuplées de la commune.
Par ailleurs, il faut noter que ces dernières années, les aménagements de route ne tiennent que l’espace d’un été. Le bitume commence à se dégrader dès les premiers jours de sa pose. Il en est ainsi de la route de Akkar, une traverse de Michelet vers l’hôpital qui, ces derniers temps se trouve dans un état de dégradation avancé.
Sur certains tronçons, le danger ainsi créé menace les automobilistes et les piétons adeptes de la marche qui aimeraient se rendre en ville sans être mis en danger.
On aimerait savoir si les travaux de bitumage sont soumis à une garantie et de quelle durée serait-elle ?
Dans le cas contraire tous les abus sont permis.
A. O. T.