Aomar : Du nouveau pour les souscripteurs aux logements en LSP

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70 logements en LSP sur les 150 que compte le projet, localisé en grande partie en bordure du marché hebdomadaire, accusent un retard dans les travaux.

Ce sont les blocs d’appartements construits à l’extrémité de l’assiette, et qui tendent vers la sortie ouest de Aomar, où de nombreux entrepreneurs sont intervenus depuis le lancement du site dans des opérations bien déterminées, mais qui ont arrêté pour une raison ou une autre.

Le projet a démarré en 2001, soit un retard maintenant de presque 10 ans, des arrêts répétitifs qui ont poussé les prétendants à s’organiser pour défendre leur investissement, et à créer pour cela “l’Association des souscripteurs”. Par ce biais, disent ces derniers, ils ont pu réunir autour de la même table, des membres de l’Association d’une part, et un comité qui a regroupé le DG de l’agence foncière, les représentants de la wilaya, de la daïra et de l’APC. Une entrevue au cours de laquelle les fonctionnaires ont réaffirmé leur intention de mener à bout leur réalisation et cela sans remettre en question ce qui a été convenu. Entre autres comme décisions prises ce jour-là le maintien du prix de 140 millions de centimes fixé aux appartements de type F3 prévus dans le projet.

Une estimation où sont inclus les 50 millions de centimes d’aide sociale pris en charge par l’institution de l’Etat CNL.

Quant au reste s’élevant à 900 000 DA, qui ne sont pas à la portée de tous les souscripteurs exerçant pour la plupart comme salariés, les pouvoirs publics, rapporte Ali, un prestataire taxieur de sont état “doivent faire appel à la banque BDL pour l’octroi de prêts à un taux symbolique de 1%”. Ce ne sont pas des paroles en l’air, tout justes bonnes, pour calmer les esprits trop abattus par la longue attente ; mais cette fois-ci, tient à préciser le transporteur : “Des formulaires d’engagements signés ont été remis à chaque souscripteur au niveau de l’APC”.

Sur le terrain, une entreprise publique dont le siège social serait à El Harrach, est à l’œuvre pour la partie des 70 logements souffrant depuis presque une décennie.

A. Cherif

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