Alain Geiger Entraîneur de la JSK : «Tous les joueurs sont sur le même pied d’égalité»

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Joint hier peu avant midi, le technicien Suisse de la JSK, Alain Geiger, a bien voulu nous renseigner sur tout ce qui a trait à son équipe, à la veille de son déplacement au Nigeria, pour y affronter Heartland, ce dimanche à 15 h 30. «L’équipe va bien, les joueurs sont concentrés sur leur travail et tout se passe dans la sérénité. Nous avons un match qui nous attend au Nigeria, ce dimanche, et on fait tout pour être prêts. Concernant l’effectif, on a décidé de ménager Aoudia et Tedjar pour ce match contre Heartland, en plus de Sofiane Younes, qui n’est pas qualifié. Nous avons aussi les deux joueurs suspendus à savoir Asselah et Oussalah qui ne seront pas du voyage de demain. Mais nous allons récupérer Naili et Yahia Chérif pour cette rencontre. Pour moi, tous les joueurs sont concernés par cette ligue des champions. Je n’ai pas de joueurs titulaires ou réservistes. Tous les éléments sont considérés sur le même pied d’égalité seulement, dans un match je dois toujours aligner onze joueurs qui affichent la meilleure forme.

A ma connaissance, jusque-là tous les joueurs ont eu leur chance. Pour revenir au match, je dirais qu’il faut l’aborder avec la détermination de le gagner, cependant, on doit éviter à tout prix les blessures et les éventuels cratons, surtout que l’arbitre qui a été désigné est connu pour avoir la gâchette facile. Donc, nos joueurs doivent faire attention. C’est un match difficile, face à un adversaire qui aimerait terminer sur une bonne note ; en ce qui nous concerne, on va gérer intelligemment cette ultime rencontre avec, comme je l’ai dit, la détermination de la gagner, mais sans prendre des risques qui peuvent nous pénaliser pour la demi-finale, à laquelle on pense déjà. Concernant ce qui se dit à propos d’une prolongation de mon contrat, je tiens à préciser que cela fait tout juste deux mois depuis que j’ai signé pour une année et je ne vois pas l’utilité de parler d’une prolongation en ce moment car, à mon avis, c’est prématuré d’aborder cette question.»

Propos recueillis par S. K.

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