Un débrayage qui a duré une semaine avant que le P-DG du groupe n’intervienne en recevant séparément une délégation des travailleurs contestataires et le président du CP de l’unité paralysée et aussi de l’inspection de travail, ayant répondu aux correspondances du DG de la SOCERCA et des travailleurs pour arriver par la suite à la reprise du travail puis de la programmation de cette AGE.
Les travailleurs de l’unité carreaux sol d’Amizour, SOCERCA, se prononceraient ce lundi lors d’une AGE de l’avenir de l’actuel comité de participation, lequel venait donc de répondre aux orientations de l’inspection de travail de la wilaya de Bgayet de tenir une Assemblée à la faveur d’une fin de crise qui a secoué cette unité du groupe ECE.
Cela est venu dans l’évolution des derniers péripéties du mouvement de grève des travailleurs de cette société qui revendiquaient la tenue d’une AG pour aller à un vote de confiance à l’encontre de leur comité de participation, lequel est accusé de quelques dérapages que le président de ce comité avait rejeté jusqu’à aller déposer plainte au tribunal contre certains travailleurs indexés de meneurs.
Un débrayage qui a duré une semaine avant que le PDG du groupe n’intervienne en recevant séparément une délégation des travailleurs contestataires et le président du CP de l’unité paralysée et aussi de l’inspection de travail, ayant répondu aux correspondances du DG de la SOCERCA et des travailleurs pour arriver par la suite à la reprise du travail puis de la programmation de cette AGE. Toutefois, l’on apprend que cette Assemblée extraordinaire déterminante n’est pas sans être entachée de réserves retenues par les travailleurs contre l’ordre du jour fixé par l’actuel comité dans les activités sont gelées, à donner son bilan moral et financier. L’on peut penser alors que le président du CP sommé par les employés à passer l’épreuve du vote de confiance veut aller à cette AG à sa propre manière, mais peut-il être accepté par ses détracteurs ? Dans tous les cas, et se référant aux orientations des services de l’inspection de travail qui exigent le respect des textes y régissant ainsi que le soucis des responsables de l’unité et du groupe ECE de préserver la stabilité de l’unité ; cette AG devrait être une occasion de fin de crise, comme il n’est pas utile d’écarter a priori toute surprise que cette ultime AGE réserverait.
Le doute planera jusqu’à la fin de l’Assemblée pour connaître l’aboutissement de cette affaire.
Nadir Touati