Quel est le mécanisme du progrès scientifique, pourquoi surgit-il en certains endroits et pourquoi certaines civilisations stagnent-elles, sont entre autres les questions que pose le conférencier. Les autres conférences, par contre, relèvent du domaine technique pure. E. Matagne, de l’université de Louvain-la-Neuve (Belgique) présentera une communication sur un modèle de diffusion des radiations solaires.
Le Laboratoire de technologie industrielle et de l’information de la faculté de technologie organise une Conférence internationale en électrotechnique, électronique et automatique (ICEEA’10) les 2 et 3 novembre 2010, à l’université de Bgayet (Targa-Ouzemour).
Cinq communications plénières sont au programme de cette conférence à laquelle sont attendus plusieurs sommités du génie électrique.
La conférence d’ouverture abordera un thème qui pour être assez pointu ne semble pas moins susceptible de susciter l’intérêt du grand public. Le Pr Mohamed Boumahrat, ancien ministre de la Formation professionnelle, évoquera ainsi l’évolution technique entre la première et la troisième révolution industrielle. Quel est le mécanisme du progrès scientifique, pourquoi surgit-il en certains endroits et pourquoi certaines civilisations stagnent-elles, sont entre autres les questions que pose le conférencier. Les autres conférences, par contre, relèvent du domaine technique pure. E. Matagne, de l’université de Louvain-la-Neuve (Belgique) présentera une communication sur un modèle de diffusion des radiations solaires. La conférence de Mohamed El Hadi Zaïm, de l’université de Nantes, s’intéressera à la modélisation et la conception des machines non conventionnelles. Pour sa part, Abdeldjalil Ouahabi, de l’université de Tours, évoquera la théorie et les applications du signal. Enfin, Mouloud Feliachi exposera un thème lié à l’analyse des champs électromagnétiques. Après une longue éclipse, explique Rachid Saou, de l’institut d’électrotechnique de l’université de Bgayet, la Faculté de technologie entend à travers l’organisation de ce genre de manifestations scientifiques, reconquérir l’espace public et coller aux dernières évolutions du domaine technologique.
M. Bessa
