Sur le tronçon d’adduction d’eau potable, long de quelques sept kilomètres, entre la commune de Saharidj et celle de M’Chedallah, tout au long de chemin dit Thala n’ath Salah, des fuites d’eau, dans plusieurs endroits causent des désagréments sur une distance de plus de deux cents mètres, aux usagers de cette route, récemment aménagée en béton bitumineux. Ainsi, d’importantes quantités d’eau potable, continuent à couler sur la chaussée ou dans le fossé sans que les services concernés ne se manifestent pour procéder aux réparations nécessaires, laissant supposer qu’ils n’inspectent pas leur réseau. Ces fuites se signalent surtout en cette période, en différents endroits, et seraient dues à la forte pression insupportable pour la conduite qui alimente la commune de M’Chedallah, à partir de l’Ainser Averkane. Rappelons, aussi, les ruptures de la conduite au niveau de l’endroit Imri, entre les localités de Beni Hamad et Illiten, qui se reproduisent à chaque hiver, sous les mouvements des terrains favorables aux glissements et autres éboulements, sous l’effet des fortes et persistantes pluies et neiges durant la période hivernale. Les solutions apportées jusque-là qui s’apparentent à des replâtrages réalisés dans l’urgence, s’avèrent pour le moins inappropriées, et en ayant généré des dépenses inefficaces sur le budget de l’état.
N. H.
