La contradiction peut s’avérer grande. Entre partisans de l’école publique et ceux de l’école privée, la différence ne requiert, en réalité pas grand-chose, à la différence de la contradiction. Ainsi, ce sont les moyens des familles qui déterminent, dans la plupart des cas, le chemin de quel-le école doivent prendre leurs enfants. Si la question peut-être traitée d’un angle autre que celui des “pécules” dont la famille dispose et met à la disposition de scolarité des enfants, l’on peut susurrer sur le positionnement de tout un chacun, par rapport à cette histoire qu’englobe le débat sur “le privé”. Concernant l’école, il est impératif de connaître les tenants et les aboutissants de cet enseignement, de sa qualité sa fiabilité et surtout le sérieux qui règne dans ces écoles. Ces écoles, ainsi répétait le premier responsable du secteur de l’Education, doivent dispenser un enseignement basé sur les mêmes programmes que ceux suivis dans les écoles publiques. Sur ce point, et hormis le fait que les enseignants des écoles privées sont mieux lotis, peut-être, mais il n’en demeure pas moins que ces même enseignants travaillent, dans la plupart des cas, dans les écoles publiques. Dans ce cas de figure, une question s’impose. Ces enseignants mettent tous leur savoir et savoir-faire au service des deux “entités», où s’amusent-ils à faire de l’une, une priorité au détriment de l’autre ? Quand on évoque, et c’est devenu un secret de polichinelle, la qualité d’enseignement, on s’accorde tous à dire que seules les écoles privées dispensent un enseignement de qualité contrairement à l’école publique où les problèmes et autre errements du secteur “brisent” les volontés qui y exercent. A ce propos, c’est aux responsables du secteur que la responsabilité incombe en premier lieu, ensuite, aux enseignants. Ces derniers, en mouvement ces dernières années, pour cause de leur situation sociale précaire.
Mais revenant à la contradiction entre partisans de l’école publique, et ceux de l’école privée, l’on remarque que ce sont les officiels qui optent le plus pour l’école privée, au moment où ils doivent garantir la pérennité du public…
M. M.