L’affaire du match à rejouer entre le FC Mechtas et le DC Boghni est loin de connaître son épilogue.
En effet, après un premier refus de l’APC de Tizi-Ouzou d’accueillir cette rencontre reprogrammée pour le 19 février, on a appris que les autorités de Draâ El Mizan ont émis, à leur tour, un niet catégorique au déroulement de cette rencontre re-programmée pour aujoud’hui au stade de leur localité. Une décision motivée, croit on savoir, par des considérations sécuritaires qui ont contraint la ligue de football à différer, une nouvelle fois, le match en question, à une date ultérieure. Un second report qui ne sera pas fait sans engendrer des conséquences sur la suite du parcours du championnat de Tizi-Ouzou. Pour rappel, cette rencontre avait opposé les deux voisins à Mechtras, le 1er février dernier, dans une rencontre qui n’a pas été à son terme. L’arbitre avait pris la décision de ne pas reprendre la seconde mi-temps, en raison, avait-il mentionné sur la feuille de match, de la mauvaise organisation, le manque de sécurité et les jets de projectiles. L’affaire avait été alors traitée par la ligue qui a rendu son verdict, à savoir match à rejouer en sus des sanctions infligées au deux clubs. Un verdict qui a fait l’objet d’un recours par le DC Boghni auprès de la ligue régionale qui a confirmé quelques jours plus tard, la décision de la première instance, avec néanmoins un élément nouveau, à savoir le déroulement du match sur un terrain neutre et à huis clos. L’instance présidée par Rabah Kadri, qui n’arrive pas à s’expliquer l’ampleur qu’a prise la programmation de ce match ordinaire et de surcroît à huis clos, devait se rabattre sur le stade du 1er novembre. L’unique enceinte qui demeure comme seule alternative pouvant accueillir cette rencontre.
S. K