La cérémonie d’ouverture qui a regroupé les membres de l’APC, les représentants du CFPA de Beni Maouche, les stagiaires et leurs parents, a eu lieu le 27 février passé date du démarrage de la session d’hiver.
Au grand bonheur des jeunes qui n’ont pu suivre un cursus scolaire adapté et désireux de se rattraper en suivant une formation professionnelle qui leur permettrait une insertion facile dans la vie active une fois le diplôme en poche, une annexe d’un centre de formation professionnelle est créée dans la commune de Benidjellil. La cérémonie d’ouverture qui a regroupé les membres de l’APC, les représentants du CFPA de Beni Maouche, les stagiaires et leurs parents, a eu lieu le 27 février passé date du démarrage de la session d’hiver. «Pour éviter des déplacements à nos stagiaires jusqu’au CFPA de Béni Maouche, l’APC a conclu un accord avec les responsables de ce centre pour la création d’une annexe dans notre commune. Comme l’école primaire d’Aourir possède des salles de cours inoccupées, nous avons détaché deux salles pour le secteur de la formation professionnelle», a-t-il informé. Et il renchérit : «la formation a débuté avec la création de deux sections. L’une pour 16 jeunes filles qui suivent des cours de couture et l’autre pour 14 garçons qui ont opté pour une formation de peinture. Les stagiaires qui suivent des formations en résidentiel sont encadrés par des enseignants expérimentés. Une large diffusion de l’information a été engagée par l’APC pour informer la jeune population de la commune de l’ouverture de cette annexe. Aux affiches collées un peu partout, on a fait même du porte-à-porte. Comme on recensé tous les élèves exclus des deux CEM, une centaine environ qu’on a saisie individuellement par écrit. Les inscriptions restent cependant ouvertes durant une semaine pour permettre aux retardataires de s’inscrire. Nous avons d’autres stagiaires qui continuent leurs formation au centre de Beni Maouche à qui la municipalité assure le transport». «Notre objectif est de créer un centre de formation professionnel autonome dans notre commune», a-t-il conclu.
L. Beddar