Même les filles s’en mêlent

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Les habitants de la cité de Draâ El Bordj qui est située dans la partie ouest de la ville de Bouira, ont vécu avant-hier, une scène de vol qui s’est déroulée dans un salon de coiffure pour dames, où une cliente s’est faite choper son sac à main par une très jeune fille de l’intérieur même du local, pendant qu’elle se faisait traiter les cheveux par la coiffeuse. Une fois qu’elle s’est rendue compte de la disparition de son sac qui contenant une forte somme d’argent, la victime est sortie précipitamment dehors dans l’espoir de repérer la voleuse. Bien lui a pris, parce que des éléments de la police effectuaient une ronde dans les parages sont vite intervenus pour arrêter la fille qui n’a pas réussi à s’en tirer. La victime a récupéré son sac, et la fille a été arrêtée et mise sous contrôle judiciaire par le magistrat instructeur.

Un autre fait s’est produit dans une parfumerie située en ville, où trois filles ont subtilisé des flacons de parfum. Mais c’était sans compter sur la vigilance du vendeur qui à travers le reflet du miroir a aperçu la scène, lorsque les filles ont mis les flacons volés des étalages dans leurs cartables. Prises en flagrant délit, les trois filles, se sont retrouvées dans une délicate situation, sauf que l’indulgence du propriétaire du commerce à prévalu, sur le désir de punir, et d’humilier, il s’est contenté finalement, simplement de leur donner une bonne leçon de morale. Encore une fois, il s’agit de filles voleuses, et cette fois- ci ,dans un local de vente d’effets vestimentaires dans l’un des quartiers de la ville. Une jeune cliente s’est présentée pour essayer trois robes de bonne qualité et dont les prix sont onéreux. A sa sortie de la pièce d’essayage, elle profita de la clientèle nombreuse qu’il y avait dans le commerce, pour ne remettre au vendeur que deux robes des trois qu’elle a prises. Certainement ce dernier ne serait pas rendu compte, si ce n’est que la jeune fille au moment de mettre la robe précipitamment sous une autre qu’elle portait, les étiquettes de la nouvelle robe apparaissaient de derrière son cou. Ce fait a fait réagir le commerçant pour interpeller la voleuse et la sommer de lui rendre son bien. Enfin, d’autres exemples existent et se produisent dans la vie de tous les jours, pour dire que le vol à l’étalage n’est pas uniquement l’apanage des hommes.

Fahem H.

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