Après la sourde oreille de leur tutelle vis-à-vis de leur revendication, les enseignants contractuels ont décidé de porter haut et fort, en adressant une lettre aux plus hautes responsables, à leur tête le président de la République, afin qu’il trouve une solution escomptée à leur problème.
Après qu’ils aient observé une journée de protestation hier, au niveau de la maison de la presse Tahar Djaout à Alger, les enseignants, qui ont été exclus de la décision ministérielle portant sur l’intégration des contractuels, ont décidé d’adresser une lettre signée par 45 enseignants, dont ces derniers dénoncent leur situation misérable, et l’injustice qu’ils ont subi de la part du ministre. Cette lettre est adressée également au Premier ministre, au parlement, au ministre de l’Education, et le directeur des ressources humaines.
A noter que ces enseignants sont déterminés à aller plus loin jusqu’à la satisfaction de leur demande » on ne compte pas lâcher du lest jusqu’à l’obtention de nos droits « .
Samira Saïdj