Le P/APC dira à ce propos que «la réalisation de ce projet dans la localité va, sans doute, éradiquer les décharges sauvages qui dénaturent et polluent l’environnement, en plus du fait qu’elle va faire bénéficier la localité de postes d’emplois pour atténuer le chômage ambiant».
La commune de Béni Douala a bénéficié d’un projet très important, une décharge contrôlée qui sera implantée à Icharène, apprend-on auprès du P/APC. En effet, les travaux sont en cours de réalisation, entamés par l’aménagement d’une route menant à l’intérieur qui d’une distance de 4,5 km, « le problème de cet axe a été réglé depuis quelque temps, les travaux de ladite décharge avancent très bien », dira le maire. Pour rappel, une enveloppe financière de 11 milliards de centimes y a été allouée par la direction de l’environnement de la wilaya de Tizi-Ouzou. Notre source ajoute que ce projet a bénéficié d’une rallonge de 3 milliards de centimes qui servira à l’acquisition des équipements d’exploitation repartis en cinq lots, l’avis d’appel d’offre a été lancé le mois passé « la décharge sera bien équipée, puisque les moyens nécessaires sont déjà mis à sa disposition. La somme totale pour la concrétisation projet est de 14 milliards de centimes », a-t-il ajouté. Ce qu’il faut dire, c’est que la réalisation de ce genre de projets, ne fait que soustraire à la localité le problème des décharges sauvages qui ne cessent de proliférer dans différents recoins de la commune. Par ailleurs, la commune limitrophe de Béni Zmenzer a, au même titre, bénéficié d’une décharge contrôlée et les travaux sont en cours d’achèvement. Il est à rappeler que ce projet a été accordé par la direction de l’environnement, pour l’exercice de l’année passée, pour une enveloppe financière de 11 milliards de centimes, et est implanté à Aglagal « Tawerirth ». Le P/APC dira à ce propos que «la réalisation de ce projet dans la localité va, sans doute, éradiquer les décharges sauvages qui dénaturent et pollue l’environnement, en plus du fait qu’elle va faire bénéficier la localité de postes d’emplois pour atténuer, un tant soit peu, le chômage ambiant».
M. Zerbout