L’OPGI s’explique

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Usant de notre droit de réponse à l’article paru à la page 6 de votre édition du dimanche 26 juin 2011, intitulé  » Béjaïa/Non respect des normes techniques par les entreprises du bâtiment – Un bureau divulgue des anomalies et dénonce le  » Mutisme  » de l’OPGI « , nous vous prions de bien vouloir insérer, au titre de mise au point, les éléments d’information suivants :

– L’auteur de cet article n’ayant pas pris la peine de se rapprocher des services gestionnaires de l’OPGI avait, par inadvertance ou intentionnellement, omis les droits d’une partie importante à cette affaire s’agissant de la gestion contractuelle, tout de même rédigé au moment même où le bureau d’études en question vient de recevoir une ultime mise en demeure datée du 22/06/2011 sur vos propres colonnes.

– L’étendue de l’article a fait valoir des fait liés au suivi du chantier, sans préciser que les différents problèmes et contraintes, à l’origine des retards cumulés sur cet ouvrage, sont principalement liés à la conception des études effectuées par le même bureau d’études engagé en étude et suivi du projet..

– La double défection de ce Bureau d’études n’étant plus à démontrer, il sera quant même nécessaire de lever le voile sur quelques carences qui se sont révélées dès l’engagement des travaux sur ce projet et à titre d’exemple ;

– Des différences de niveau entre les blocs qui interrompent gravement la continuité de la galerie,

– Des trames mitoyennes aux joints entre blocs qui ne peuvent être exploitées comme accès mécaniques de la voie vers le cœur d’îlot,

– Un voile de contreventement qui cloisonne et rétrécie la galerie,

– Nécessité de surélévation de la côte du cœur d’îlot engendrant des surcoûts.

L’ensemble de ces insuffisances, conjugué à d’autres difficultés de communication avec le personnel désigné au suivi de l’ouvrage, nous a mené à mettre en demeure ce bureau d’études notamment pour ; le reprise de sa mission et la prise d’attachement des travaux et, bien évidemment, le changement du personnel chargé du suivi.

Tout ce qui dépasse le cadre contractuel de l’opération ne concerne que le bureau d’études qui assumera les conséquences de tout ce qui sera jugé comme dépassement ou outrage.

Le Directeur Général

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