Les dernières pluies qui se sont abattues dernièrement ont causé beaucoup de gênes et de désagréments aux habitants, notamment ceux du village Toghza, situé à 5 km du chef-lieu de Chorfa.
En effet, comme constaté récemment, des mares d’eau jalonnent les différents tronçons parcourant ce village, peuplé de quelque 2 000 habitants, à l’instar de cette section d’un chemin communal qui va de la salle polyvalente jusqu’au bureau de poste en passant par la salle de soins, où il a été constaté une gigantesque mare d’eaux pluviales qui « trône » dans ces lieux sur la chaussée en gênant énormément la circulation automobile et piétonnière.
Cette mare d’eau fait toujours son apparition à chaque tombée de la pluie, dénotant de l’absence totale du drainage des eaux des pluies. Cet endroit du village, situé à proximité de la voie ferrée et à quelques dizaines de mètres seulement de l’école primaire et du CEM, est un coin inondable, où les eaux pluviales et la boue s’y stagnent durant des jours même lorsqu’il fait beau.
«Cet étang, s’il conviendrait de l’appeler ainsi, apparaît à chaque fois que la pluie tombe. Les automobilistes au niveau de cet endroit du village trouvent toutes les peines afin de circuler, car les eaux et la boue gênent la circulation. Quant aux piétons, ils sont obligés, de ce fait, à contourner cette gigantesque mare en empruntant la voie ferrée en amont pour descendre sur l’autre côté du chemin communal», constate amèrement l’un des villageois.
Ce problème de drainage des eaux pluviales continue d’empoisonner le quotidien des habitants de la bourgade de Toghza, où il est enregistré à travers les chemins desservant ce village des flaques d’eau stagnantes et de la boue. Les différents tronçons sont livrés il y a des années de cela sans la prise en charge de ces équipements routiers de taille que sont les caniveaux et autres avaloirs.
Y Samir.