Le siège de la BADR ainsi que celui de la subdivision de l’urbanisme des Ouadhias se trouvent dans un état peu reluisant. Pour le premier, comme nous l’avions rapporté dans nos précédentes éditions, le siège est confiné et exigu. Selon le personnel, l’espace n’est guère confortable pour un bon fonctionnement dans les règles de l’art. «Nous travaillons dans des bureaux exigus, entassés de dossiers, d’archives et autres. Nous souhaitons que les responsables délocalisent ces bureaux vers un endroit spacieux, propice pour notre fonction», regrettera l’un des employés. Et d’ajouter «Le siège actuel n’est qu’une cave. Les clients, comme nous, suffoquent à l’intérieure». Les clients, quant à eux, ne savent plus à quelle autorité se plaindre pour voir leur situation améliorée. «La faute ne réside pas dans l’accueil ni encore moins dans les prestations effectuées par le personnel. Le hic se pose avec acuité dans le siège, dans la structure elle-même», tonnera un client de cette agence financière qui précise : «Il n’y a pas d’espace à l’intérieur de l’agence, chose qui contraint l’agent d’accueil de cette banque à faire rentrer uniquement quelques personnes à l’intérieur, alors que la grande majorité reste à l’extérieur été comme hiver». Par ailleurs, notre interlocuteur indique : «Il a été question de délocaliser ce siège vers des locaux situés à la cité dite Léhal mais à ce jour, rien n’est encore venu nous soulager». Pour le siège de la subdivision de l’urbanisme (SUC) des Ouadhias, le constat est tout bonnement pitoyable ! L’eau pénètre à l’intérieure des bureaux, la peinture est craquelée. Comme dit l’adage, un cordonnier mal chaussé ! «Le personnel ainsi que les prétendants à l’habitat rural ou au logement sont logés dans la même enseigne de supplice. Il est temps que ce siège soit aménagé», s’indigne un citoyen que nous avons apostrophé à l’entrée du siège de la SUC. Par ailleurs, une source concordante nous a fait part que la délocalisation de ce service vers les nouveaux locaux de la cité Léhal est en perspective.
A. G.