Les élus de l’assemblée populaire communale de Tizi-Gheniff n’ont pas hésité à donner leur accord sur toutes les propositions inscrites àréaliser sur les prélèvements budgétaires de 2016.En effet, le cap a été mis notamment sur la réalisation de pas moins de six opérations de dallage.«Comme vous savez, l’APC de Tizi-Gheniff a achevé lesopérations de bitumage inscrites tant dans les PCD 2015 que cellescontenues dans les PCD 2016 à travers toute la commune et au niveau du chef-lieu de commune. Quant aux chemins étroits qui ne peuvent être bitumés, nous avons opté pour leur dallage», nous déclare le premier magistrat de ladite localité en l’occurrence M. Saïd Mansour. Ainsi, d’ores et déjà des consultations sont lancées pour la réalisation du dallage des pistes des villages d’Aït Slimane, El Hallouf et Irahalène sur sept cents mètres (700)ML alors que les villages de Tagharbit, Ouled Meriem et Tamellaht bénéficient de neuf cents (900)ML. Quant aux hameaux de D’hous et Lourika, ceux-ci jouiront respectivement de deux cent cinquante (250) ML et de quatre cents (400)ML de dallage. Au chef¬-lieu, la rue Tazekrit a été inscrite pour 270 ml. «Toujours dans le cadre des prélèvements 2016, nous avons également inscrit la réhabilitation de la conduite d’assainissement du boulevard 1er Novembre, l’achèvement de l’assainissement du village Tala Mokrane ainsi que de celui du village Alekam comme nous avons prévu la réalisation d’un drainage des eaux pluviales au centre du chef-lieu ainsi que la relance du projet de déviation des eaux pluviales de l’aire de jeux existante également au chef-lieu dont l’opération avait été inscrite en 2011», nous déclare M. Saïd Mansour, le P/APC de ladite localité avant de revenir sur ce projet qui tient à cœur tous les citoyens et dont la réalisation tarde à voir le jour, à savoir celui de la gare routière. «En ce qui concerne la gare routière, nous avons relancé les consultations qui consistent en la réalisation d’abribus, de toilettes publiques, de bordures de trottoirs pour trois (3) quais ainsi qu’un socle en béton» termine notre interlocuteur.
Essaid Mouas