La commune sans eau

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l La commune de M’chedallah est depuis trois jours privée de l’eau douce provenant de la majestueuse Source noire, en raison du glissement de terrain engendré par les dernières intempéries, et qui a endommagé la conduite principale au niveau du village Illiten, commune de Saharidj. Les travaux de réfection ont été lancés, mais la panne risque de durer encore des jours. En attendant, les autorités ont renoué avec les anciennes méthodes d’alimentation des années 90, par des camions-citernes.

Farid A.

Préparation de la Journée du 8 mars l Dans le cadre de la célébration de la Journée internationale de la femme, qui coïncide avec la date de huit mars de chaque année, la direction de l’école primaire Lamri Abdellah, en collaboration avec l’APC de M’chedallah et l’association des activités de jeunes, compte organiser une exposition au sein de cet établissement. A cet effet, un appel est lancé à toutes les mamans désirant prendre part à cette festivité de se présenter à cette école pour les inscriptions, dès la première semaine de mars. Ce programme, sera marqué par des expositions, notamment en couture, en filature, en broderie, en dessin, et même en cuisine (un meilleur plat de gâteaux). Les meilleurs travaux seront primés et des prix seront remis aux lauréats.

F. A.

Les mardis de la pluiel Pour cet hiver, les citoyens M’chedallah n’ont pas besoin de consulter le bulletin météo pour les journées du mardi. Si ce n’est pas de la pluie, alors c’est la neige. Ca a été le cas pratiquement depuis le mois de décembre, à ce jour. Le port du parapluie, en effet, est indispensable pour cette journée du marché hebdomadaire. Si ce climat arrange plutôt les agriculteurs, d’autre part il tracasse énormément, d’abord «IMSEWQEN», puis les épiciers, les légumiers, les fruitiers, les poissonniers, et autres marchands qui pratiquaient le marché hebdomadaire de M’chedallah. D’ailleurs, bon nombre d’entre eux préfèrent carrément ne pas venir pour ces raisons. Cet état de choses se répercute négativement sur les pauvres consommateurs qui payent alors les frais de l’offre et de la demande. D’abord, beaucoup de produits manquent sur les étals, ou bien se trouvent en quantités restreintes, de fait, leurs pris doublent et même triplent. Le citoyen n’a de choix que de payer, ou de se rabattre sur les légumiers et fruitiers installés en villes qui proposent eux aussi dans de telles circonstances des prix similaires, voire plus chers.

F. A.

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