Le chemin du CEM Hosine Messaoud envahi par la vase

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Le chemin qui mène au CEM « Hocine Messaoud », situé au chef-lieu municipal d’Ahnif, est dans un état lamentable, comme constaté in situ. Ce tronçon de quelques centaines de mètres se trouve, depuis les dernières intempéries, dans un envasement chaotique, où il n’est pas facile aux élèves dudit CEM de l’emprunter pour rejoindre leur établissement scolaire.

Le chemin glissant, est jalonné de petites rigoles où suintent les eaux pluviales. De la boue et des mares d’eau rendent cette section impraticable et qui mettent dans leurs états et les collégiens et le personnel éducatif de ce collège. Accosté pour avoir son avis à ce sujet, un élève n’a pas caché sa déception et surtout son dégoût sur ce tronçon complètement hors d’usage. «Le chemin qui mène vers notre CEM est un véritable supplice pour nous les élèves, surtout lorsqu’il pleut.

La boue et les eaux pluviales se répandent partout en nous empêchant même de marcher. Nos habits se trouvent la plupart du temps éclaboussés par la fange et les glissades qui se multiplient représentent un vrai danger pour nous. Nous souhaitons que les autorités locales prennent en charge ce tronçon en le réhabilitant dans les brefs délais», espère notre interlocuteur. Ce n’est malheureusement pas la seule rue qui se trouve en proie à la dégradation et l’impraticabilité, d’autres sont recensées au niveau du chef-lieu communal d’Ahnif.

Même le chemin qui mène au siège de l’APC est détérioré et dénudé de toute couche de bitume. Pourtant il est très emprunté par les citoyens au quotidien, lesquels se rendent vers cette institution pour différentes prestations. «La prise en charge et la réhabilitation des rues d’Ahnif

s’imposent d’elles-mêmes, car à chaque intempérie, celles-ci deviennent méconnaissables et impraticables. L’APC devrait œuvrer pour remédier à cette situation qui n’a que trop duré», constate

un habitant d’Ahnif-centre.

Y. S.

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