Nombreux sont les pères de familles dans la commune d’Amizour et même dans d’autres communes limitrophes, à savoir Feraoun Barbacha et Bendjlil, qui rencontrent des difficultés pour se procurer une bouteille de gaz, qui est devenue précieuse et rare, notamment en ces jours, caractérisés par le passage d’une vague glaciale , une tempête de neige et d’intempéries. Certains parents au moins, ont fait reccours à l’ancienne, en ramassant du bois afin d’allumer un feu qui assure un repas chaud et un minimum de réchauffement. C’est le cas de certains villageois qui habitent les hauteurs. Mais cela ne peut être appliqué dans la ville et les zones urbanisées, ce qui complique d’avantage la situation à d’innombrables familles qui sont dans l’obligation de passer une journée ou plus à la station Naftal sise au centre- ville d’Amizour, dans l’espoir d’avoir une bonbonne. Cette situation a provoqué un vrai point noir à la circulation au sein de ladite station.
Comme dit le proverbe, le malheur des uns fait le bonheur des autres,des gens se pointent très tôt au point de vente , non pas par besoin, mais afin de récolter l’argent facile, pour revendre des bouteilles à des prix dépassant parfois les neuf cent dinars (900 DA), comme nous l’ a révélé un père de famille, qui n’a même pas eu la chance d’en acheté.
A.Mehdi