Comme toujours, le centre-ville de Tichy constitue un véritable goulot d’étranglement pour la circulation automobile, tant en hiver qu’en été.
Hormis les stationnements anarchiques au niveau de cet axe routier très fréquenté, le laisser-aller des autorités en charge de l’entretien de cette Route nationale y est pour quelque chose.
En effet, les conducteurs sont obligés d’éviter les énormes nids de poule, qui se sont formés au fil du temps, au niveau de la chaussée, ce qui perturbe, conséquemment, la circulation. Certaines crevasses sont là depuis plusieurs années sans que les services concernés daignent y parer. C’est le cas à proximité de l’arrêt de bus dit «L’Etoile».
En venant d’Aokas vers Tichy, les conducteurs sont obligés de serrer à gauche s’ils veulent éviter le saccage de leur véhicule. Qu’attendent les services des travaux publics, en charge de l’entretien du réseau routier, pour bitumer ou, tout au moins, combler ces crevasses qui pullulent sur cet axe routier emprunté par des milliers, voire des millions d’usagers quotidiennement, en période estivale ?
A la cité Bensaid (Baccaro), un tronçon mal réhabilité est également évité par les usagers qui créent, en serrant à gauche, un autre goulot d’étranglement. La ville touristique de Tichy, station balnéaire par excellence, mérite plus d’attention de la part des autorités, si elles veulent qu’elle rivalise avec les autres villes côtières du pays.
B. S.