Les TIC et tous les problèmes de connexion…

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S. Ait Hamouda

Les nouvelles technologies avancent rapidement mais pas selon le souhait des usagers. Il y a des pays, nos voisins en particulier et ceux qui sont en guerre ou en situation de sous-développement, qui sont quand même bien mieux lotis que nous. A quoi cela est dû ? Certainement au ralentissement des investissements concédé par beaucoup de paramètres, comme une cadence débonnaire dans la réalisation des projets ou un comportement plutôt lent et déconnecté par rapport à l’exigence. Ne faudrait-il pas se mettre au diapason des pays phares en la matière et se placer à leur niveau, du moins en ce moment où tout le monde se met à l’heure des technologies avancées surtout dans les TIC. Se mettre en interconnexion ou se connecter avec la rapidité voulue, et en un temps record, par rapport aux pays qui nous devancent, en l’occurrence. Il se trouve qu’en la matière, il y a un retard que nous accusons et il est, en principe, facilement rattrapable, du fait que ce n’est pas seulement d’argent qu’on a besoin pour réaliser tout cela, mais de technicité et de techniciens hautement qualifiés. Et l’Algérie en possède fort heureusement. Il y a des jeunes qui ont un savoir-faire considérable dans le domaine, il suffit de les mettre à contribution pour développer ce secteur et ainsi on finira par offrir au pays les technologies de l’information qu’il mérite. D’abord les méthodes informatiques ou Internet, qui ne sont plus un luxe mais un moyen d’information et d’instruction à nul autre pareil, permettent aux jeunes et moins jeunes d’être à la mesure de ce qui se fait dans ce domaine sur toute la planète. Avoir du retard dans ce secteur peut coûter cher au pays en finances et en termes d’essor qui ne nécessite pas seulement de la volonté mais aussi de la ténacité et de la fougue en plus de la fierté d’appartenir à un pays fort et ambitieux. Les TIC comme la téléphonie vont de pair et ne peuvent être dissous dans une démarche inappropriée.

S. A. H.

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