Brèves d’Aïn El Hammam

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Accident spectaculaire devant l’hôpital

Le pire a été évité de justesse, jeudi dernier vers 16h, lorsqu’un engin de type «case», de passage sur la route nationale numéro 71, est devenu subitement incontrôlable tout près de l’hôpital, à trois kilomètres à l’ouest du chef-lieu communal d’Aïn El Hammam. Selon des témoins, l’engin des travaux publics est brusquement devenu fou, allant emboutir deux véhicules en stationnement devant le pavillon des urgences, avant que sa course folle ne s’arrête contre un talus. Alertés, les services de sécurité se sont déplacés sur les lieux et une enquête fut enclenchée pour déterminer les tenants et les aboutissants de l’accident. Fort heureusement, celui-ci s’est produit en dehors des heures de visites lors desquelles des centaines de personnes attendent, quotidiennement, devant le portail de l’hôpital.

Attention au verglas !

Les baisses sensibles des températures de ces derniers jours ont conduit à la formation de verglas sur les routes de montagne, particulièrement dans la région d’Aïn El Hammam, où le froid sévit. Les gelées nocturnes y sont fréquentes. Ce qui complique davantage la circulation automobile et la rend dangereuse. Dimanche dernier, sur certains tronçons de routes, rarement touchés par le soleil, une bonne couche de givre s’étalait sur le bitume. Les véhicules qui s’y aventurent deviennent presque incontrôlables, obligeant les conducteurs à réduire leur vitesse. Personne n’est à l’abri de glissades qui finissent parfois dans les ravins en pentes abruptes. Si le verglas persiste, l’APC, comme chaque année, se trouvera dans l’obligation de procéder aux salages des routes, pour plus de sécurité.

Des buches à foison, mais pas de pain

Le jour du réveillon, la plupart des boulangeries de la ville d’Aïn El Hammam n’avaient plus de pain, dès la fin de la matinée. Comme d’habitude, à la veille du nouvel an, l’heure était aux buches et autres pâtisseries. La farine n’était destinée qu’aux gâteaux, des produits beaucoup plus rentables que le pain. Les vitrines, les comptoirs et tous les endroits susceptibles d’en contenir étaient remplis de buches que les citoyens achetaient à tour de bras. Malgré les prix affichés qui vont de 600 à 1500 dinars, les buches ont trouvé preneur sans difficultés. Aucune baguette de pain n’était visible.

A. O. T.

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