Le problème d’eau potable refait surface ces derniers temps au lycée du chef-lieu de la commune de Tizi N’Tléta depuis le début du mois d’août dernier.
En effet, selon une source proche du lycée, la rareté de ce précieux liquide date depuis maintenant plus de deux mois. «Ce problème n’est pas nouveau dans cet établissement qui est de tout le temps confronté à cet épineux problème qui ne voit pas de solution», dira notre interlocuteur avec un air agité. Il est à rappeler que les lycéens ont observé des journées de débrayage, laissant ce lycée patauger dans une situation d’insalubrité et d’absence d’hygiène. «L’absence de l’eau potable dans l’établissement a engendré beaucoup de désagréments notamment le manque d’hygiène». Et d’ajouter : «Pourtant, les services concernés nous ont promis de régler le problème, en vain.».
Par ailleurs, le village d’Aït Abdelmoumène à cinq kilomètres du chef-lieu communal accuse un manque flagrant en eau potable. Plusieurs quartiers n’arrivent toujours pas à s’approvisionner de ce liquide.
«Depuis longtemps, nos robinets demeurent à sec, le comble du paradoxe, est que certains quartiers ont cette eau dans leurs foyers, c’est aberrant !», regrettera un citoyen de Tassoukit. Pourtant, des promesses ont été faites par les responsables de la daïra de Ouadhias et de wilaya, après plusieurs mouvements de rue des habitants de ce grand village, sans résultat.
Les villageois ont toujours soif.
M. Zerbout