Annonce du début de la troisième phase

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La commune de Boghni a bénéficié dans le cadre du programme Blanche Algérie, d’une tranche supplémentaire pour entamer des travaux d’utilité publique au profit des habitants de la ville et des villages dépendant de la municipalité. Il s’agit en fait de travaux visant à améliorer l’état de la voirie et des espaces publics, à travers des opérations de nettoyage et d’entretien, confiées à un tâcheron doté d’un cahier de charges qu’il doit respecter. Ce même tâcheron, devra aussi engager une équipe composée au minimum de 6 personnes pour réaliser sa mission ne devant pas dépasser le délai de trois mois. Après la validation des fiches techniques présentées par le service de voirie et réseaux divers de la commune, un nom a été sélectionné par le comité de pilotage du programme Blanche Algérie, présidé par le président de l’APC. Les comités de quartier et les associations de défense de l’environnement, ainsi que les services municipaux ont été associés pour arrêter les actions à mener sur le terrain par le tâcheron et son équipe qui débuteront les premiers travaux, affirme-t-on du coté de l’APC, au début de l’année 2012. Les articles contenus dans la convention qui sera signée avec l’APC fait état de l’exécution de nombreuses tâches, dont le nettoyage des chemins communaux et des avenues de la zone urbanisée et sa périphérie, l’entretien de certains espaces publics tels que les jardins publics et les arrêts de stationnement. De plus, la plantation des arbres pour protéger les routes du phénomène des glissements de terrains, est prévue, ainsi que l’éradication des décharges sauvages qui jonchent les axes routiers desservant la ville de Boghni, en provenance des localités avoisinantes. Mêmes les cimetières feront l’objet d’opérations de désherbage et de nettoyage, au même titre que les fossés et les espaces verts. Ça sera la troisième phase d’un programme déjà mis en œuvre en partie en 2007, puis en 2009, lequel sera totalement financé par la direction de l’action sociale. Le montant accordé avoisine les 75 millions de centimes, une somme qui peut être considérée insignifiante au regard de ce qui est prévu comme travaux, mais tout de même suffisante pour au moins faire bénéficier les jeunes d’un travail temporaire.  

M. Haddadi

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