“L’objectif est de faire progresser la connaissance des praticiens sur l’échographie avec une augmentation de la qualité des examens. J’ai constaté chez les médecins algériens, un profond désir de connaissance. C’est agréable ! Il ne faut pas croire qu’en France, l’échographie est absolument parfaite. Il y a un parallèle entre ce qui se fait en France et ce qui se fait en Algérie, grâce justement à ce désir d’apprendre de la part des médecins algériens. Il y a une grande confraternité entre l’Algérie et la France dans le domaine médical. Ce cycle de formation se prolongera dimanche à Oran, et lundi nous serons à Alger. C’est déjà fait à Annaba. C’est une formation qui pourrait s’étaler sur trois ans !”
Arous Touil