Installation officielle de la commission nationale le 12 mars prochain

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Les membres de la Commission nationale chargée de la gestion des œuvres sociales du secteur de l’éducation nationale ont été élus avant-hier.

« Le président de la commission nationale de gestion des œuvres sociales et les présidents des commissions de wilaya et leurs vice-présidents seront élus le 4 mars prochain, alors que l’installation officielle est prévue pour le 12 mars. Parmi les 114 candidats en lice pour les 9 postes à pourvoir », nous a signifié le secrétaire général de l’Union nationale des professeurs de l’éducation et de la formation (Unpef).

Il y a lieu de souligner que les membres de la commission nationale sont répartis, en vertu de la décision ministérielle relative à la gestion des oeuvres sociales, selon le cycle d’enseignement, à raison de trois membres permanents pour le cycle primaire, trois membres permanents pour le moyen et trois membres pour le secondaire, outre trois autres membres suppléants qui seront répartis sur les trois cycles.  » 38 candidats pour le cycle primaire, 35 pour le moyen et 41 pour le secondaire étaient en lice pour cette opération », a-t-il indiqué. Pour ce qui est du mandat des membres de la commission nationale de gestion des œuvres sociales du secteur de l’éducation, il est fixé à trois années.

Selon la même source, « l’opération s’est déroulée dans de bonnes conditions et aucun dépassement n’a été enregistré ». « Après l’annonce des résultats, il a été procédé à la réception des recours qui devront être tranchés hier et aujourd’hui », a-t-il encore ajouté. Celui-ci a noté que cette opération qui s’est déroulée au niveau du Centre national de formation des personnels de l’Education d’El Harrach (Alger), sous la supervision du ministère de l’Education nationale, a permis l’élection des membres principaux et suppléants de la commission nationale.

La commission nationale prendra en charge toutes les questions liées aux oeuvres sociales du secteur de l’Education, et elle définira également les priorités s’agissant des dépenses de ces fonds au niveau national.

Rappelons toutefois, le dossier des œuvres sociales du secteur de l’éducation avait suscité une grande polémique entre partisans et opposants du système de gestion centralisée des fonds. La question a été tranchée à travers le recours à un référendum qui a consacré la gestion centralisée de ces fonds.

L.O.CH

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