Le P/APC nous écrit

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l Suite aux critiques répétées par l’élu Allaoua Mouhoubi, insérées dans votre quotidien en date du 13 juin 2006, page 08, sous le titre “APC de Béjaïa, rien ne vas plus”, nous oblige à répondre aujourd’hui alors que notre sagesse nous avait dicté de passer sous silence les précédents articles publiés dans vos colonnes.Tout d’abord, concernant l’exécutif qui ne se réunit pas, il faudrait savoir que jusqu’à preuve du contraire, M. Allaoua Mouhoubi ne fait pas partie de cet exécutif et qu’il n’est pas la tutelle de celui-ci. Quant aux commissions dont il fait partie, les dates de réunion sont arrêtées à l’approbation de leurs membres.Quant au portrait du premier magistrat de la ville, celui-ci ne constitue aucunement un obstacle à la tenue d’une assemblée. (Mon portrait est accroché sciemment pour l’élu Allaoua Mouhoubi afin que celui-ci sache que ma présence au sein de l’assemblée est réelle et que mon élection à la tête de la ville de Béjaïa est due à la confiance et à l’espoir mis en moi par les citoyens de la commune). Pour ce qui est de mon écoute aux doléances des citoyens, ces derniers peuvent témoigner de ma disponibilité. D’ailleurs outre les journées des mardis à cet effet, les réceptions perdurent même au-delà de ces journées réservées aux citoyens.Contrairement à ce que prétend Allaoua Mouhoubi : “Je n’ai aucune prétention à m’égaler au président de la République, mais je ne pouvais mettre en marge la joie manifestée par les jeunes à mon encontre et à celle de nos invités qui ne sont autres que des représentants de l’Etat. Par contre nous nous interrogeons à quelle fin est utilisée la signature : “élu indépendant à l’APC et à quel titre certains de ses articles ont été publiés à la page événement national”.

Le présidentAbdelhafidh Bouaouina

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