Cap sur le congrès

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Le conseil fédéral de Tizi-ouzou du Front des forces socialistes s’est réuni, hier en début de matinée, au siège du parti. Des questions relatives à l’actualité nationale et à la situation du pays ont été soulevées. Mais également celles ayant trait aux affaires internes de la formation du FFS. Ainsi, et pour ce second point à l’ordre du jour, les participants au conseil fédéral du FFS à Tizi-ouzou ont procédé à l’élection des représentants de la fédération locale à la Commission de préparation du congrès national (CPCN), selon un militant du parti. Un congrès qui aura pour rappel lieu à la fin du deuxième trimestre de l’année en cours. Et c’est d’ailleurs en prévision de ce congrès que les conseils fédéraux des sections locales se réunissent. Hier, en parallèle à la réunion de Tizi-Ouzou, et en présence du directeur fédéral, des militants et représentants de la direction nationale du parti, dont le sénateur Moussa Tamadartaza, le conseil fédéral de Bouira, ainsi que celui de Boumerdès ont été tenus. Ceci, alors que la journée d’aujourd’hui enregistrera les réunions des conseilles fédéraux de Béjaïa et Alger, en plus des rencontres des fédérations de l’Est, Ouest et Sud du pays. Les militants du parti se sont par ailleurs étalés sur le premier point à l’ordre du jour, à savoir la situation du pays, en la confrontant à ce qui se passe actuellement au Sahel. Selon un militant présent hier lors du conseil, de nombreuses questions ont été abordées dans ce sillage, et des constats ont été posés, notamment en ce qui concerne « le comportement du pouvoir algérien dans la gestion de l’attaque terroriste, suivie par une prise d’otages sanglante menée contre le site gazier à In Amenas ». Les militants auraient ainsi conforté les déclarations déjà faites par le premier secrétaire du FFS, Ali Laskri, qui se prononçait au lendemain de cette attaque. Une attaque qu’il avait jugée « révélatrice de la grande vulnérabilité sécuritaire, économique et politique du pays ».

T. Ch. 

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