L’avant-première du sitcom « Akka I Tella », qui passera sur la chaîne privée « Dzair TV », durant le mois de carême, a été projeté mardi dernier, au niveau du petit théâtre de la maison de la culture Mouloud Mammeri de Tizi-Ouzou, en présence de son réalisateur Ould Elhadj Massinissa, « Macy », Olivier d’or à la 13ème édition du festival du film amazighe, pour son film d’animation « La cigale et la fourmi » (film en 3 D), et de son producteur Amar Nait Sid, plus connu sous son nom d’artiste d’Amar Colombo, ainsi que de nombreux artistes, chanteurs et comédiens. A cette occasion, le premier responsable du secteur de la culture de la wilaya, en l’occurrence M. El Hadi Ould Ali, a tenu à rendre un grand hommage à toute la famille artistique, qu’il a tenu à féliciter pour son nouvel acquis « le statut de l’artiste». Etaient également présents, à cette projection, de grands noms de la scène artistique locale, entre autres Akli Yahiaten, Rabah Oufarhath, Djilali Hamama, Ahcene Ath Zaim, Larbi Youba, Said Khelass, Hocine Ouarab, Malik Kezoui, Fetta&hellip,; les réalisateurs Karim Aouchich et Mebarki ont également assisté à cette première. Amar Naït Sid le producteur du sitcom qui interprète différents personnages dans cette série, nous déclarera à l’occasion que « Akka I Tella » est un sitcom de vingt parties auquel ont pris part dix comédiens, ils y jouent différentes situations avec une touche humoristique, il passera au mois de ramadhan sur la chaîne privée Dzair TV…». L’humoriste nous confiera que l’objectif premier de tout travail artistique, qu’il entreprend, est la promotion de la langue et de la culture Amazighe : « j’espère que ce modeste travail apportera un plus pour notre culture Amazighe, l’objectif premier étant de promouvoir notre langue amazighe et notre culture…», il ajoutera « Vous savez l’art est un témoin juste et, de ce fait, nous voulions mettre le doigt sur les problèmes de la société à travers différentes situations, entre autres l’environnement, les accidents de la circulation, l’amour, l’amitié la vanité… avec une touche humoristique ».
Karima Talis