Boumerdès : Les candidats soulagés

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Comme dans d’autres régions d’Algérie, des centaines de candidats au baccalauréat ont entamé hier dimanche, le marathon des épreuves. Les inscrits, dans toutes les branches, à cet examen avaient rendez- vous, comme prévu, avec l’épreuve de littérature arabe. Deux sujets ont été proposés au choix pour les candidats de la filière scientifique, mathématique, économique et technique mathématique. Un poème de Moufdi Zakaria et un texte de l’écrivain égyptien Ahmed Amine.  » La plupart des questions relatives à ce deuxième choix étaient abordables » », nous ont confié trois candidats, dont deux filles, au sortir de l’épreuve au niveau du lycée des frères Draoui du chef-lieu de wilaya, vers 11h 30. L’une des deux filles ajoutera qu’elle allait déjeuner chez elle, non loin de là et se reposer un moment avant de réviser encore les cours de Chariâa, une épreuve programmée pour l’après-midi d’hier. Juste avant la pause de midi, nous étions en face du CEM Aïssat Idir, qui accueille les candidats des séries « lettres et philosophie » et « lettres et langues étrangères ». Ces  derniers devaient choisir entre un texte de l’écrivain Toufik El Hakim, sur l’innovation culturelle d’une génération à une autre, et un autre texte, en prose, de Abdel Motti Hedjazzi, paraissant plutôt symbolique.   » J’ai opté sans tarder pour l’étude de texte de Toufik El Hakim, qui posait moins de problèmes, même s’il n’était pas inscrit officiellement au programme », souligne Mohamed, ajoutant qu’il attend plutôt les épreuves d’allemand, de français, de mathématiques et de Chariâa, de cet après-midi, où il espère cartonner pour compenser ses éventuelles échecs dans d’autres épreuves. Même attitude adoptée, à quelques nuances prés, par d’autres candidats, notamment ceux de la branche « lettres et philosophie ».  

                                         

Salim Haddou

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